Forestiers du Maroc

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A force de voir que l’environnement et sa biodiversité au Maroc sont mal-aimés et malmenés par la plupart, on finit par perdre espoir et par commencer à se résigner que tout est parti en fumé. Et pourtant…
Cette biodiversité que les experts et rapports en tout genres décrivent depuis des décennies déjà comme au bord de la destruction totale, comme étant fragile menacée de tout les maux et de tout les fléaux, finie par passer pour un genre de malade condamné à mourir.elle est encore là, mais elle est en phase terminale.
Oui, ils sont encore la, ces derniers représentants des espèces animales sauvages marocaines en tout genres. Comme de vieux êtres qui ont été témoins de la disparition de leurs paires un à un jusqu’à se demander se que eux  faisaient encore sur terre.ces derniers individus d’animaux qui « subsisteraient » encore sont devenu des bizarreries qu’on est surpris de voir encore sur pattes.
Après qu’ils furent jadis maîtres des lieux, ils sont devenus ces intrus qui se cachent pour mourir.
Condamnés à être ignorés quand ils ne sont pas persécutés, ces animaux sauvages remarquables sont pourtant si précieux… si précieux… et pourtant aucune valeur ne leurs est reconnus. Hélas.
Ces derniers léopards, guépards, hyènes, zorilles, ratels, gazelles et j’en passe, sont la branche sur laquelle les humains sont assis et… qu’ils sont entrain de scier. Par ignorance, par faux calculs, par négligence, par méchanceté, pour quelques dirhams en plus.
Aujourd’hui plus que jamais, c’est la dernière chance de faire quelques choses. Comment ? Je vous laisse décider, qui que vous soyez. Dans 30 ans, si on fait les bons choix et qu’on y met tous du notre ils seront peut être encore la. Sinon… on n’en gardera que le souvenir, et le regret.
Encore un revenant à qui je souhaite une longue vie et beaucoup de petits. Encore faut il que les humains les laissent tranquilles.
ser

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